Retrouvez les dossiers d'actualité du mois par le Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil : - Enquête nationale sur les cabinets de recrutement, - Emploi : les intentions d'embauches restent soutenues en France, - Relations collaborateurs et managers : il y a urgence à s'écouter, - Travail : les troubles psychologiques représentent 25 % des arrêts de longue durée, - L'édito : "Montée de l'individualisme : comment l'entreprise peut-elle s'adapter ?", - La Responsable recrutement du mois. Spécialisé depuis plus de 25 ans dans les métiers du BTP, de l'Industrie, des Energies, des Services aux entreprises, de la Santé et de l'Immobilier, nous répondons à vos besoins sur les profils production, exploitation, études, commerciaux, techniciens, managers,… (www.rcv-conseil.com).
*****************************
Montée de l'individualisme : comment l'entreprise peut-elle s'adapter ?
La montée de l'individualisme, phénomène sociétal, impacte particulièrement les entreprises. Depuis la survenue du Covid et l'avènement du travail à distance, chacun attend que l'entreprise lui offre un cadre de travail qui correspond à sa situation particulière. L'un vient d'avoir un second enfant et a besoin de passer plus de temps chez lui. Un autre, passionné de ski, souhaite avoir plus de temps de vacances pour s'adonner à son sport. Une troisième a des parents en fin de vie en province et doit pouvoir télétravailler de chez eux pour s’en occuper. On constate deux attitudes vis-à-vis de ce phénomène. La plus fréquente consiste à se désoler de ce manque d'implication de la génération montante. Contrairement aux précédentes, elle fait passer sa vie personnelle avant sa vie professionnelle. Alors que plus de 60 % des collaborateurs mettaient le travail au centre de leur vie dans les années 1990, ils ne sont plus que 23 % à le faire aujourd'hui. L'autre façon de prendre en compte ce phénomène est de faire en sorte que l'entreprise s'y adapte. Bien sûr, le risque est d'avoir des collaborateurs pour lesquels le travail n'est plus qu'une source de revenu. Ils ont une mentalité d'indépendants alors qu'ils ont tous les avantages des salariés. Il est donc indispensable de leur fixer un cadre. Celui-ci part des besoins de l'entreprise et de l'implication indispensable des salariés en termes de participation à une dynamique collective, une contribution à la créativité et l'innovation et un soutien auprès de ses collègues (sur le plan du développement et du support psychologique). Autrement dit, contribuer au bon fonctionnement de l'équipe et à l'agilité collective nécessaire. Il faut expliciter qu'un salarié n'est pas un simple producteur, même si ce n'est pas écrit comme tel dans son contrat de travail. Il ne s'agit pas seulement de faire mais de participer. Une fois cette base clarifiée, l'entreprise a deux enjeux. D'une part, donner envie aux acteurs d'être présents et de contribuer. Cela suppose d'entretenir une atmosphère émotionnelle positive. Enorme sujet managérial ! A supposer qu'ils sachent comment faire, cela n'entre pas dans l'évaluation des managers, donc ce n'est pas une priorité. Ensuite, il faut assurer un suivi individuel des collaborateurs et sortir de l'idée qu'une règle est la même pour tous. La même règle ne peut plus s'appliquer à tous, il faut que l'entreprise s'adapte. Régis de la CROIX-VAUBOIS Président
La Chargée de Recrutement du mois
Nathalie ORLIAC : Titulaire d'une Maitrise en Droit privé (1993) et d'un D.E.A. de Droit social (1994) obtenus à Paris 2 Assas, elle a été Responsable Ressources Humaines en établissements bancaires de 1995 à 2006. Elle est Responsable Recrutement chez R.C.V. Conseil depuis 2008 en charge des secteurs énergies notamment dans les installations en génie électrique et en génie climatique.
3 questions à Nathalie ORLIAC :
Le climat économique s’est dégradé ces derniers mois, avec des conséquences notamment dans le secteur de l’immobilier ; cela entraine-t-il des conséquences chez vos clients et chez les candidats ? C’est vrai que le climat économique se dégrade depuis quelques mois. Cependant lorsque nous interrogeons nos clients, essentiellement des chefs d’entreprise du BTP, ils nous indiquent que l’activité restent encore légèrement au-dessus de sa moyenne de longue durée, et cela est d’autant plus prégnant pour la réhabilitation. Ils ont toujours autant de mal à recruter, évitent à tout prix les licenciements, quitte à proposer à leurs collaborateurs d’autres évolutions au sein de l’entreprise. Comment voyez-vous la suite de l’année 2024 en terme d’activité ? En termes d’activité, les chefs d’entreprises du BTP sont plutôt optimistes concernant leurs effectifs et continuent à nous solliciter pour les accompagner dans leurs développements. En effet, ils nous confient que très souvent ils sont obligés de s’interdire de prendre de nouvelles affaires ou des commandes supplémentaires en raison d’un manque de collaborateurs qualifiés. C’est notre valeur ajoutée que d’y remédier ! Vous pratiquez la chasse de tête depuis plus de 14 ans chez R.C.V. Conseil ; comment le recrutement s’est transformé en France tout au long de ces années ? « C’était (souvent) mieux avant » mais pas forcément pour le recrutement. Avec le développement des sites internet d’entreprise et d’offres d’emploi, puis aussi et surtout des réseaux sociaux professionnels, le métier a beaucoup changé en quelques années. Pour une entreprise qui fonctionne correctement, le recrutement de talents prometteurs va devenir un enjeu critique. Il existe dans nos métiers une forte concurrence autour des meilleurs talents, à nous chasseurs de les identifier et les suivre pendant leur parcours professionnel pour leur proposer le moment venu un poste dans lequel ils s’épanouiront totalement. Je trouve qu’aujourd’hui les entretiens avec nos candidats sont moins formels, et plus axés sur la personne et sa personnalité. De plus les candidats ont un rapport bien différent au travail ; nous constatons souvent que désormais les profils souhaitent rejoindre une opportunité qui pourra s’adapter à leurs contraintes personnelles. Ce qui reste difficile, c’est de susciter l’intérêt du profil, en particulier quand il est très sollicité. D’où l’intérêt de bien connaître l’entreprise pour laquelle nous recrutons et les leviers de séduction que nous lui présentons pour le faire s’intéresser au poste évoqué. Enfin, mon rôle de recruteur a évolué aussi au fur et à mesure des années chez R.C.V Conseil et j’ai aujourd’hui un vrai rôle de conseil auprès des chefs d’entreprise que j’accompagne, pour certains depuis maintenant longtemps.
************************
R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations : - Recrutement, - Prestation de Chasse (contrat de mission), - Dossier d’Evaluation (approche directe), - Prise (contrôle) de références, - Veille Mobilité, - Bilan de compétences (formation), - RPO (externalisation du recrutement), - Outplacement (reclassement), - Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), - Portage salarial, - Test de personnalité ou d’aptitude. N'hésitez pas à nous consulter.
*****************************
Recruter, c'est bien ; fidéliser, c'est mieux : le service de Veille Mobilité proposé par R.C.V. Conseil.
Notre service de Veille Mobilité consiste à informer au plus vite nos entreprises clientes lorsqu’un de ses salariés s’ouvre au marché via les médias internet de l’emploi. Notre Cabinet rassemble et traite pour elles les informations recueillies sur les principaux réseaux du marché français :
- CV Aden : Groupe Figaro Classifieds, CV Aden rassemble les sites Cadremploi, Cadreonline et Keljob, et affiche environ 2 millions de profils avec leurs C.V., plus d’un Cadre français sur deux s’y rend chaque mois,
- Indeed : premier site emploi mondial, Indeed compte 250 millions d’utilisateurs mensuels dont plus de 6 millions de visiteurs par mois en France,
- APEC : acteur majeur de l’emploi, l’APEC compte plus de 300.000 profils de Cadres avec leur C.V.,
- Pôle Emploi : Pôle Emploi compte plus de 5 millions de profils avec leur C.V. en ligne ; c’est le premier jobboard de France,
- LinkedIn : principal réseau social professionnel comptant 25 millions de profils en France - ce qui représente 80 % de la population active - nous y avons investi dans un outil complémentaire afin d’être informés de l’ouverture active au marché des profils.
Munis de cette information (publique et accessible à tous), cela permet à l’entreprise d’adopter l’attitude et la stratégie les plus adaptées vis-à-vis de son collaborateur.
A chaque transmission d’éléments sur un salarié, et en complément de cette prestation de Veille Mobilité, l’équipe du Cabinet propose de le contacter directement et confidentiellement afin d’analyser ses motivations ; ce contact fera l’objet d’une commande spécifique.
Enquête nationale sur les cabinets de recrutement
En France, l'activité de conseil en recrutement est composée de milliers de prestataires aux organisations et méthodes très variées ; il est parfois difficile d'en établir la qualité ou la spécialité.
Depuis quelques années, l'organisme indépendant de statistiques et d'opinion Statista s'associe avec Les Echos pour établir le palmarès des meilleurs Cabinets de recrutement de France. Pour cela, il organise une grande enquête en ligne.
Vous connaissez notre Cabinet R.C.V. Conseil et son équipe ; nous serions heureux et très reconnaissants si vous acceptiez de faire part de votre expérience à l'occasion de cette enquête. Le questionnaire ne vous prendra que deux minutes.
Le lien est le suivant : Enquête sur les Cabinets de recrutement
La date limite pour compléter cette enquête est fixée au vendredi 7 juin prochain. La publication des résultats par Les Echos est prévue pour novembre 2024.
Toute l'équipe du Cabinet vous remercie de votre participation !
*******************************
*******************************
Emploi : les intentions d'embauches restent soutenues en France
France Travail et le Credoc prévoient près de 2,8 millions de projets de recrutement cette année, hors contrats courts, soit une baisse de 8,5 % par rapport à 2023. Après deux années exceptionnelles, cela demeure « un niveau historiquement élevé ». Les difficultés à trouver le bon candidat sont toujours très importantes (avec Les Echos). La croissance est au point mort en France mais les entreprises embauchent toujours beaucoup. La publication récente de l'édition 2024 du baromètre annuel de France Travail avec le Credoc sur les besoins de main-d’œuvre des entreprises et leurs anticipations de difficultés de recrutement dessine un marché du travail loin d'être à l'arrêt. Même si un ralentissement sensible est perceptible après l'euphorie ayant suivi la sortie de la pandémie de Covid. « Après deux années exceptionnelles, les intentions d'embauches restent à un niveau historiquement élevé, ce qui témoigne du dynamisme du marché du travail », a souligné le directeur général adjoint en charge du réseau de l'ex-Pôle emploi, Stéphane Ducatez.
Changement conjoncturel L'enquête fait ressortir près de 2,8 millions projets de recrutements en 2024 (deux sur trois dans les services), sachant que ces projets se réalisent à près de 80 %, et qu'ils peuvent en entraîner d'autres par effet de cascade lorsque l'embauche concerne un salarié en poste. Ce chiffre est donc un plancher. D'autant plus qu'il ne prend pas en compte les millions de contrats courts, CDD ou mission d'intérim, et exclut la fonction publique d'Etat. Il marque pourtant un recul net, de 257.000 par rapport à 2023 (-8,5 %). La part des établissements prévoyant d'étoffer leurs effectifs baisse elle aussi, pour passer de 31 % à 28,2 %, mais demeure à un étiage « extrêmement élevé ». Ce repli est perceptible quelle que soit la taille des entreprises et quels que soient les secteurs d'activité même s'il est beaucoup plus marqué dans la construction, crise de l'immobilier oblige. Seules les activités financières et d'assurances tirent leur épingle du jeu. Toutes les régions sont concernées également. Pour Stéphane Ducatez, ces chiffres marquent un changement conjoncturel : là où en 2022 et 2023, les intentions d'embauches étaient portées par de « nouvelles activités », en 2024 « le surcroît d'activité » a pris le relais. Les chiffres des déclarations d'embauches au premier trimestre, réalisées celles-là, par l'Urssaf, confirment que le marché du travail reste dynamique. Les anticipations de difficultés de recrutement, logiquement, suivent la même tendance : 57,4 % des établissements en font état, contre 61 % l'année dernière, mais cela reste très supérieur à la situation de 2019 (50,2 %). La progression spectaculaire des embauches depuis et la baisse concomitante du chômage rend la main-d’œuvre plus rare, les employeurs mettant aussi en avant le profil inadapté des candidats, quand ce ne sont pas les conditions de travail qui les rebutent.
Abandons de recrutements Pour combien de recrutements abandonnés in fine faute de candidats adéquats ? Entre 338.000 et 516.000 en 2023, dont 222.000 à 339.000 en CDI ou CDD de plus de six mois, estime France Travail. Soit 10 % environ de plus qu'en 2022. Soit aussi entre 3,2 % et 4,8 % des embauches durables effectivement conclues l'année dernière qui ont donc manqué à l'appel.
***************************
******************************
Relations collaborateurs et managers : il y a urgence à s'écouter.
Plus de trois salariés sur dix estiment ne pas être évalués sur des critères objectifs et quantifiables (avec Les Echos). Les collaborateurs se sentent-ils écoutés par leur manager et évalués avec une objectivité suffisante ? Ont-ils le sentiment de pouvoir progresser au sein de l'entreprise qui les emploie ? Huit salariés sur dix se croient considérés comme un bon élément ou un talent, et 22 % en sont tout à fait convaincus. En revanche, seulement un salarié sur deux fait confiance à son supérieur hiérarchique direct (N+1) pour prendre de bonnes décisions sur sa carrière, à en croire l'étude menée par OpinionWay pour la HR Tech européenne Tellent1. Près d'un tiers des salariés pourraient quitter leur entreprise en raison de mauvaises relations avec leur manager (34 %) ou avec leurs collègues (34 %). Les freins à l'évolution professionnelle sont tout aussi rédhibitoires ; du reste, six salariés sur dix ont déjà eu le sentiment de ne pas pouvoir évoluer au sein de leur entreprise. Résultat : nombre d'entre eux pourraient démissionner s'ils avaient le sentiment de ne pas être valorisés (32 %) ou de ne plus pouvoir progresser (31 %), et un sur cinq s'il avait l'impression que ses souhaits ne sont pas pris en compte (20 %). Des sentiments qui pourraient survenir, par exemple, à la suite du refus d'une augmentation, ce qui inciterait 27 % des salariés à quitter leur entreprise, ou d'une promotion (18 %). Freins à la carrière Dans une moindre mesure, l'impossibilité de développer ses compétences est aussi une cause de départ, qu'il s'agisse d'un manque de formation (12 %) ou de mobilité interne (12 %). Les souhaits des salariés, en matière de formation, ne seraient pas entendus, et encore moins transmis (selon 36 %). Un tiers (32 %) regrette que leur manager ne soit pas suffisamment à leur écoute et une même proportion estime que leurs compétences actuelles ne sont pas suffisamment mises à profit au sein de leur entreprise. Lorsqu'il s'agit d'élargir leur savoir-faire, ils sont même quatre sur dix à considérer qu'on ne les incite pas à acquérir de nouvelles compétences. Trois salariés sur dix estiment ne pas être évalués sur des critères objectifs (33 %) et quantifiables. Et 36 % ont déjà reçu des retours négatifs qui n'étaient, selon eux, pas justifiés par des éléments probants. Cette évaluation subjective peut être un véritable frein à la carrière : 35 % des interviewés se sont déjà vu refuser une promotion, sans justification fondée sur les compétences ou la qualité du travail. La « People Review » Cette situation met en péril la relation de confiance entre salariés et manager. Le manque de reconnaissance et l'absence de prise en compte des aspirations professionnelles pourraient en effet inciter des salariés en quête de sens et confrontés parfois à de mauvaises expériences, à quitter une entreprise. Aujourd'hui, plus de deux sondés sur cinq (42 %) ne font pas confiance à leur manager pour prendre les bonnes décisions pour leur carrière. La clé d'une gestion des compétences juste et comprise par les salariés ? Peut-être la « People Review », qui évalue les salariés d'une entreprise sur leur performance, en vue de détecter les talents et hauts potentiels. A la différence de l'entretien d'évaluation, le salarié ne participe pas à cet échange, qui se fait uniquement entre les managers, la direction et les représentants RH. 71 % de ceux qui en bénéficient déclarent faire confiance à leur manager en ce qui concerne leur carrière, alors que seuls 52 % des répondants dans les autres entreprises l'affirment. « Cette revue des talents nourrit une relation de confiance entre salariés et managers, qui aujourd'hui fait défaut dans une partie des entreprises. Avec des bénéfices bien visibles en termes d'écoute et de confiance entre managers et managés », appuie Julien Matsis, directeur général France de Tellent. Problème : 72 % des salariés français n'en ont jamais entendu parler et seuls 16 % affirment que leur entreprise en a mis en place.
****************************
********************************
Travail : les troubles psychologiques représentent 25 % des arrêts de longue durée.
L’édition 2024 de Datascope de l’observatoire de la vie en entreprise d’AXA révèle une réalité inquiétante : le taux d’absentéisme ne cesse de progresser en France depuis la crise du covid-19. Celui-ci touche particulièrement les femmes et les jeunes et serait essentiellement dû à des troubles psychologiques ainsi qu’à un certain mal-être au travail (avec EconomieMatin). La crise sanitaire a profondément perturbé le paysage professionnel en France, laissant des cicatrices durables sur la santé mentale des travailleurs. Selon l'édition 2024 du Datascope de l'Observatoire de la Vie en Entreprise d'AXA, qui a analysé les données de plus de 3 millions de salariés, le taux d’absentéisme a augmenté de 31 % depuis 2019, et de 4,2 % entre 2023 et 2022. Une augmentation qui est principalement imputable à une hausse des troubles psychologiques, qui représentent 25 % des arrêts de longue durée, les plaçant ainsi en tête des causes d'absentéisme. Diane Milleron-Deperrois, Directrice Générale AXA Santé et Collectives, souligne l'importance de ces découvertes : « Nos analyses des 5 dernières années démontrent que les effets de la crise sanitaire ne sont pas transitoires mais marquent une évolution durable des conditions de travail ». Les données recueillies parlent d'elles-mêmes : les troubles psychologiques chez les salariés ont connu une progression de 6 points en quatre ans. Comme le souligne le datascope, ces chiffres démontrent la nécessité de mettre en place des adaptations structurantes dans nos entreprises. Le mal-être au travail, et par extension l'absentéisme, affecte particulièrement deux segments de la population : les femmes et les jeunes. Pour ces derniers, l'âge moyen de survenue des troubles a baissé de 43,3 ans en 2019 à 41,6 ans en 2023 et comme le révèlent les données du datascope d'Axa, les arrêts maladie chez les jeunes ont grimpé de 9,5 points depuis 2019. La plupart de ces absences sont attribuables à des troubles dépressifs majeurs (60,2 %) et des burn-out (21 % en 2023, contre 14,5 % en 2019). Travail, éducation des enfants et soins pour leurs proches, comme le souligne l'étude d'Axa, les femmes jonglent souvent avec plusieurs responsabilités, ce qui les expose à davantage de pression psychologique ainsi qu'à un certain épuisement professionnel. Pour ces dernières, les troubles psychologiques sont à l'origine de 31 % des arrêts de longue durée. Comme le souligne l'Observatoire de la vie en entreprise d’AXA, il devient impératif de repenser le monde du travail. Le télétravail émerge ainsi comme une bouée de sauvetage pour de nombreux salariés. La 5e édition du Datascope d'AXA révèle en effet que le taux d’absentéisme est de 23 % moins élevé chez les personnes qui ont la possibilité d’être en télétravail, et que leurs arrêts de travail durent en moyenne 7 jours de moins que ceux qui n’ont pas cette possibilité.
****************************
Les dernières missions confiées à R.C.V. Conseil
Pour votre information, vous trouverez ci-dessous quelques-uns des recrutements qui ont été confiés à notre Cabinet au mois d'avril dernier :
Assistante Travaux – Secrétaire Juridique |
Conducteur Travaux – Centre-Val-de-Loire |
Responsable Travaux spécialisé en enveloppe du bâtiment, façades et murs rideaux |
Ingénieur Etudes de Prix Fondations |
Menuisier |
Responsable Usine de Préfabrication |
RRH |
Responsable des Métrés |
Ingénieur Méthodes et Etudes - Saint-Nazaire |
Conseiller sécurité incendie |
Chargé de Mission Filière Bois |
Conducteurs Travaux et Directeurs Travaux |
Infographiste |
Ingénieur Etudes de Prix TP |
Ingénieur Structures junior – Toulouse |
Centralier |
Bim Manager |
Ingénieur de Recherche |
Ingénieurs Travaux |
Coordonnateur SPS |
Chargé Etudes de Prix Logements diffus |
Chef de Projet IRVE |
Directeur d'Exploitation |
Conducteur Travaux |
*****************************
****************************
Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil : Régis, Nathalie, Louis-Marie, Gwénaëlle, Marie, Mailys, Pierre-Antoine, Marie, Louis-Marie, Amélie et Marc-Henri se tiennent à votre disposition. Bien cordialement, Régis de la CROIX-VAUBOIS Président 144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex Tel : 01.55.38.75.00 Le Forum - 27 rue Maurice Flandin - 69444 Lyon cedex 03 Tel : 06.46.36.11.66 contact@rcv-conseil.com www.rcv-conseil.com LinkedIn R.C.V. Conseil
***************************