2025, pour cette année de plus, nous vous souhaitons de recruter davantage de talents que de bonnes résolutions ! **********************

2025 : pour une année meilleure que prévue !

2024 touche à sa fin, et avant que vous ne commenciez à faire vos vœux pour 2025, un petit message de notre part : merci ! Merci pour votre confiance, vos projets, vos échanges… et pour nous avoir permis de vous accompagner dans ce monde complexe qu’est le recrutement. Grâce à vous, nous avons été à nouveau récompensés parmi les meilleurs cabinets de recrutement de France pour 2025 par le quotidien Les Echos dans le cadre de son enquête annuelle. 2025 arrive avec son lot d’incertitudes politiques, économiques, sociales, géopolitiques,… Lorsque nous ferons le bilan de cette année qui vient, nous analyserons les imprévus que nous aurons encaissé. Mais finalement, nous commençons tous  a avoir l'habitude de faire face à l'imprévisible vus les événements de ces dernières années ; et depuis 26 ans en ce qui concerne R.C.V. Conseil. Nous sommes donc prêts à prendre la vague avec vous. 2025 risque de ressembler à des montagnes russes tant sur le plan économique que politique. Vous ne savez pas ce que l’avenir vous réserve ? Nous non plus, mais nous pouvons vous garantir une chose : on sera toujours là pour transformer cette incertitude en succès ! Toute l’équipe du Cabinet vous souhaite une année 2025 pleine de réussites et de moments où l'on se dira : « Eh bien, c’était bien mieux que prévu ! » Joyeux Noël et belle année !        Régis de la CROIX-VAUBOIS Président

 

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Pour 2025, pour la 6ème année consécutive, R.C.V. Conseil désigné de nouveau parmi les 300 meilleurs Cabinets de recrutement de France (et parmi les 56 Cabinets avec la note maximale sur les critères de la qualité des services, la communication, le rapport qualité-prix, la rapidité d’exécution de la mission ainsi que la qualité et la sélection des candidats ou des emplois proposés - Études Les Échos : Etude Les Echos).  

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Le Chargé de recrutement du mois

Pierre-Antoine SIMON : Titulaire d'un Master 2 de Sciences Politiques et Relations Internationales à Lyon III après une Licence en Droit, il a créé et dirigé une entreprise de sureté et de sécurité incendie puis, en tant qu'indépendant, il a exercé dans le recrutement avant de rejoindre un Cabinet de recrutement à Tours. Il intervient chez R.C.V. Conseil comme Chargé de recrutement au sein du pôle Energies.

3 questions à Pierre-Antoine SIMON :  

L’année 2024 aura-t-elle été l’année de tous les contrastes en matière de recrutement ? Avec une érosion du volume d’offres d’emploi de l’ordre de -9 % entre 2023 et 2024, le marché a tendance à se rétracter sous les effets combinés des incertitudes politiques et économiques. Toutefois, 84 % des entreprises partagent une même fébrilité sur le front du recrutement en raison d’une pénurie de main d’œuvre (+6 points par rapport à 2023). Ce paradoxe réside, selon nous, dans le décalage qui s’est installé entre les projections de croissance des employeurs, affectées par un climat des affaires dégradé, et des besoins criants sur les métiers les plus en tension, besoins devenus structurels. Cette pénurie cumulative de travailleurs qualifiés essentiels à la production est devenue un phénomène inscrit dans la durée, de plus en plus décorrélé de la conjoncture dans de nombreux secteurs. Comment expliquer le paradoxe apparent des profils que vous approchez qui demeurent toujours potentiellement ouverts au marché malgré un contexte politico-économique incertain ? Bien que 51 % des cadres envisagent aujourd’hui une mobilité dans l’année contre 55 % en 2023, cette propension au changement reste forte. Seuls 30 % d’entre eux estiment que l’instabilité politique affecte leur sécurité de l’emploi. En effet, le paradoxe dont vous faites état n’est qu’apparent dans la mesure où les leviers d’ouverture au marché des professionnels en poste procèdent d’une logique individuelle encore peu affectée par des considérations macro-économiques. Les potentiels candidats que nous chassons peuvent se montrer à l’écoute de nos propositions à l’aune de critères variés : une perspective d’évolution plus prometteuse, une rémunération plus attractive, un autre équilibre vie professionnelle/vie privée, de meilleures conditions de travail, l’aspiration à donner un autre sens à leur carrière ou encore à la faire correspondre plus intimement avec leurs valeurs ou convictions personnelles… Ces raisons prenant une importante croissante dans les projets de vie, le caractère anxiogène d’une incertitude conjoncturelle n’est plus un garde-fou suffisant pour brider des aspirations à la mobilité. De plus, pour les catégories de postes (cadres, techniciens confirmés) et de secteurs d’activités (BTP, industrie…) sur lesquelles nous travaillons, la pénurie de compétences reste un paramètre amortissant la prise de risque. Comment voyez-vous évoluer les problématiques de recrutement en 2025 ? Bien habile est celui qui pourra s’aventurer d’un pied sûr sur le terrain d’une telle prospective ! Pour se limiter à deux hypothèses globales, gageons que les fondamentaux du paysage actuel (forte mobilité des cadres, pénurie de main d’œuvre dans les métiers techniques et d’expertise, exigence accrue des profils à séduire) resteront la constante, et que les variables dépendront pour l’essentiel de la confiance des entreprises dans la santé économique de la France et de l’Europe... En somme, une dégradation de cette confiance (ralentissement économique, instabilité parlementaire, brouillard budgétaire…) assortie à de nouvelles dynamiques (investiture de Donald Trump, évolution des conflits en Ukraine et au Proche Orient, bonds technologiques…) risquent bien de rebattre les cartes pour les entreprises et d’accentuer les contrastes, autant de besoins que d’attractivité, entre secteurs en souffrance et secteurs d’avenir.  

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Régis de la CROIX-VAUBOIS et toute l’équipe du Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil vous souhaitent un joyeux Noël et la meilleure année 2025 possible !  

Régis, Nathalie, Louis-Marie, Marie, Louis-Marie, Gwénaëlle, Pierre-Antoine, Marie, Marc-Henri et Amélie

 

Salaires : 2024, une nouvelle année record pour les cadres

L'Association pour l'emploi des cadres (Apec) a avancé la publication de son baromètre annuel sur l'évolution des salaires de l'encadrement. La proportion de cadres ayant été augmentés a progressé en 2024 pour la troisième année consécutive (avec Les Echos). C'est une étude qui a été regardée de près, et par les employeurs et par les syndicats. L'Association pour l'emploi des cadres (Apec) a avancé la publication de son étude annuelle sur l'évolution des salaires de l'encadrement, diffusée jusque-là en juin de l'année suivante. Une forme d'état des lieux en temps réel, donc, alors qu’ont démarré de nombreuses négociations annuelles obligatoires dans les entreprises. Ces travaux montrent que 2024 a ressemblé aux deux années précédentes en matière de rémunération. La proportion de cadres ayant été augmentés a progressé pour la troisième année consécutive et atteint 60 %. « C'est un niveau record depuis que notre baromètre de la rémunération des cadres existe », a souligné le directeur général de l'Apec, Gilles Gateau, lors de sa présentation. La progression a été d'autant plus remarquable que, avant la parenthèse de l'après-Covid, la proportion de cadres augmentés n'avait jamais dépassé les 50 %. Etat des lieux Il faudra attendre un peu pour connaître les perspectives d'évolution de l'emploi des cadres mais alors que « beaucoup d'acteurs anticipent un ralentissement du marché du travail », Gilles Gateau a rappelé que « l'emploi des cadres ne suivait pas forcément la même trajectoire que l'emploi en général » du fait de la déformation de la structure du salariat. « Depuis la baisse de leurs effectifs en 1991, soit il y a plus de trente ans, ils n'ont cessé d'augmenter », a souligné le DG de l'Apec. Information également précieuse pour les négociations qui s'ouvrent dans les entreprises, le baromètre donne aussi des précisions sur la rémunération annuelle totale, fixe plus variable, perçue. La médiane pour 2024, c'est-à-dire le niveau au-dessus duquel se situe la moitié des cadres et autant en dessous, s'est élevée à 54.000 euros, soit 1.000 euros de plus qu'en 2023 (+1,9 %) et 2.000 euros de plus qu'en 2022. Le salaire moyen, lui, s'est monté à 60.700 euros en 2024, en progression de 1,6 % par rapport à 2023. Les cadres seniors moins bien lotis L'enquête tord au passage le cou à une idée reçue concernant les cadres seniors. Elle montre en effet qu'ils sont moins bien lotis que les autres. Contrairement aux autres tranches d'âge, les 50 ans et plus ont vu leur salaire médian stagner depuis 2021 à 60.000 euros, si bien que désormais il n'est plus supérieur que de 1.000 euros au niveau des quadragénaires.  « Il y a une idée reçue selon laquelle les cadres seniors sont plus chers qui n'est pas totalement fausse car cette donnée est une médiane, mais cela veut dire que l'écart n'est pas aussi considérable qu'on l'entend parfois et surtout qu'il s'est réduit ces dernières années », a souligné Gilles Gateau. Il ajoute que cela rejoint les conclusions d'autres enquêtes qui pointent un moindre accès aux formations comme aux promotions et aux augmentations pour les salariés les plus âgés. Inquiétude sur le pouvoir d'achat Autre point notable : près des deux tiers des cadres se déclarent globalement satisfaits de leur rémunération, avec cette fois-ci une vision plus critique (même si le positif reste majoritaire) chez les moins de 40 ans pourtant plutôt mieux traités en matière d'augmentations, et les plus de 50 ans. Mais toutes tranches d'âge confondues, tout cela n'empêche pas une forte inquiétude sur le pouvoir d'achat avec un décrochage qui a été marqué sur ce point en 2021. Les deux tiers des cadres se déclarent en effet préoccupés par l'inflation et considèrent que leur situation s'est dégradée depuis le Covid.

 

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Les DAF, les cadres dirigeants les plus épanouis au travail !

Le cabinet Upward vient de publier le baromètre de l'épanouissement professionnel des dirigeants et cadres dirigeants français 2024, auquel 350 professionnels ont répondu dont des Daf, DRH, directeurs data, etc. Objectifs : connaitre leur niveau de satisfaction dans leur rôle et leur confiance en l'avenir. Le Daf serait le plus épanoui des cadres dans sa fonction (avec Daf-Mag.fr). 80 % des dirigeants et cadres dirigeants sont épanouis voire très épanouis dans leur fonction, dévoile l'étude du cabinet Upward. La diversité des missions, les défis à relever sont les principaux critères d'épanouissement (14 %). Viennent ensuite le fait d'être en position de leadership (11 %) et avoir confiance en l'équipe managée (10 %). Au-delà de la « rémunération ou le pouvoir associé à leur fonction », l'exigence de la fonction et le fait d'être un touche-à-tout, de pouvoir compter sur des équipes de qualité sont les raisons principales qui expliquent ce haut niveau d''épanouissement. Les DAF, les plus épanouis L'enquête met en évidence un niveau d'épanouissement à 90 % pour les fonctions de la direction administrative et financière. Il s'agit du cadre dirigeant le plus épanoui au travail. Un résultat qui « reflète l'évolution de leurs responsabilités et de la diversification de leurs missions ces dernières années ». En effet, les Daf endossent de plus en plus un rôle important de business partners et sont devenus les numéros 2 des organisations. La grande majorité se dit parfaitement alignés avec les valeurs de l'entreprise (95 %) ce qui fait d'eux encore une fois les cadres « les plus alignés ». Les Daf interrogés ont mis en avant un fort intérêt pour leurs missions et les défis à relever, « qui se sont diversifiés ces dernières années, passant de la gestion financière à des responsabilités de pilotage stratégique des entreprises ». Peu satisfaits des ressources à disposition Premier bémol : l'étude pointe qu'ils sont les plus insatisfaits de leur rémunération (31 %). Près de 47 % d'entre eux se déclarent mécontents « des ressources humaines et financières mises à disposition », en comparaison avec les 35 % toutes fonctions confondues. Un résultat qui interroge, car ce sont des fonctions directement impliquées dans la planification des budgets. « Bien que les DAF participent à la co-construction des budgets et aux prises de décisions stratégiques en lien avec la Direction Générale, ce n'est pas eux qui ont le final cut : le pouvoir décisionnel revient majoritairement à la Direction Générale », nous explique Simon Boukara, directeur de Upward Finance. Outre ce constat, Simon Boukara précise que les fonctions supports, directions financières et DRH en tête, « sont les plus fortement impactées en cas de tempérance financière ». La dimension business et client devient prioritaire Autre enseignement, les fonctions supports de Daf, directeurs juridiques ou DRH sont les moins satisfaites de leur situation lorsque l'entreprise connaît des soubresauts conjoncturels. En effet, « Dans un contexte économique et politique incertain, les entreprises tiennent une position attentiste et sont plus prudentes dans leurs dépenses. Drivées par un impact financier plus court termiste, elles concentrent de plus en plus leurs moyens autour des dimensions clients et business, parfois aux dépens des fonctions supports », note Simon Bouraka. Face à cette conjoncture incertaine, « Les réductions de dépenses observées depuis bientôt deux ans impactent directement le fonctionnement des Directions Financières », souligne-t-il. Une confiance en l'avenir accrue Malgré ces incertitudes, 82 % des dirigeants et cadres dirigeants disent avoir confiance en l'avenir de leur entreprise ainsi que 74 % des DAF. Les DRH sont les moins confiants (67 %), ils étaient d'ailleurs « 82 % à se dire épuisés par leur métier en 2022 ». Les difficultés économiques et un besoin de croissance élevés sont le « deuxième défi majeur identifié par les dirigeants et cadres dirigeants » (31 %). Autre constat, les grands défis qui touchent l'ensemble de la société préoccupent relativement moins les dirigeants et cadres dirigeants interrogés « que les sujets de performance de leur structure à court terme : la transition écologique, la transition digitale et les tensions géopolitiques arrivent plutôt en queue de peloton de leurs préoccupations », conclut l'étude.

 

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La France rattrapée par l'hiver démographique

En 2023, la baisse des naissances dans l'Hexagone a été plus forte que la moyenne européenne, selon une étude de l'Insee. Pour la première fois, les femmes de plus de 35 ans ont, elles aussi, eu moins d'enfants (Les Echos). La crise démographique se poursuit en France. Au cours des neuf premiers mois de l'année, la natalité a encore reculé de 2,7 % par rapport à 2023, selon l'Insee. Certes la baisse ralentit, ce d'autant que 2024 est une année bissextile ce qui ajoute mécaniquement des naissances, mais elle intervient après une « annus horribilis ». L'an dernier, seuls 677.800 bébés sont nés, soit 6,6 % de moins qu'en 2022, « une diminution d'une ampleur inédite depuis la fin du baby-boom », relève l'Institut de la statistique dans son « Focus », publié en novembre dernier. « Même en 1983 et 1993, années de fort repli dans une mauvaise conjoncture économique, la baisse avait été moins forte », souligne-t-il. Surtout, la chute avait été ponctuelle. Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Le plongeon des naissances l'an dernier s'inscrit dans un déclin entamé en 2010, qui a conduit à une chute de près de 20 % des naissances en treize ans. Des baisses quel que soit l'âge En 2023, la France a ainsi été l'un des mauvais élèves de l'Union européenne, même si la situation y est aussi dégradée. L'an dernier, les 27 pays membres ont encaissé une décrue de 5,5 % des naissances, 22 d'entre eux enregistrant un recul, selon l'Insee. L'Hexagone « rejoint aujourd'hui la situation que connaissent les autres pays riches », résume le sociologue Julien Damon dans une interview aux « Echos ». Autre fait nouveau en 2023 : pour la première fois depuis treize ans, les femmes ont moins d'enfants quel que soit leur âge. Alors que jusque-là, les naissances chez les plus de 35 ans restaient en hausse, portées par des maternités plus tardives, la tendance s'est inversée. L'an dernier, les naissances ont reculé de 4,2 % chez les femmes âgées de 35 à 39 ans et de 5 % chez les 40 ans et plus. Au cours des neuf premiers mois de l'année, la baisse s'est poursuivie chez les 35-39 ans, selon l'Insee. La situation s'est en revanche stabilisée chez les plus âgées. Chute spectaculaire chez les 25-34 ans C'est toutefois chez les femmes de 25 à 34 ans, à l'origine des plus gros bataillons de bébés chaque année, que la dégringolade des naissances est la plus spectaculaire, montant à 7,4 % chez les 25-29 ans et à 8,6 % chez les 30-34 ans. L'étude de l'Insee met en évidence des comportements très différents en fonction du lieu de résidence de la mère. Après avoir été épargnées par la chute de la natalité après la pandémie de Covid-19, les communes rurales enregistrent les plus fortes chutes, la baisse des naissances atteignant jusqu'à 9 % dans les zones périurbaines et 8,3 % dans les autres. Dans les communes urbaines en revanche, la baisse se rapproche de la moyenne observée sur l'ensemble de la France. Toutes les régions sont concernées, même les DOM, où le recul reste toutefois limité à 3 %.

 

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Régis de la CROIX-VAUBOIS Président 144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex Tel : 01.55.38.75.00 Le Forum - 27 rue Maurice Flandin - 69444 Lyon cedex 03 Tel : 06.46.36.11.66 contact@rcv-conseil.com www.rcv-conseil.com Pour information, notre Cabinet sera fermé à partir du 24 décembre au soir. Au plaisir de vous retrouver dès le 2 janvier 2025 !  

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