Retrouvez les dossiers d'actualité du mois par le Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil : - Ce qu’attendent les cadres en matière de recrutement, - Les très petites entreprises échouent plus souvent que les autres à recruter, - Les signaux d’alerte concernant la dégradation du bien-être au travail des cadres se multiplient, - L'édito : "L'entreprise, refuge contre la morosité", - Le Chargé de recrutement du mois, - Carnet rose : 2 bébés ! Spécialisé depuis plus de 25 ans dans les métiers du BTP, de l'Industrie, des Energies, des Services aux entreprises, de la Santé et de l'Immobilier, nous répondons à vos besoins sur les profils production, exploitation, études, commerciaux, techniciens, managers,… (www.rcv-conseil.com).

*****************************

L'entreprise, refuge contre la morosité

L’actualité française n’est guère réjouissante actuellement, et ne l’a finalement pas été depuis maintenant bien longtemps. Nous sommes submergés par les mauvaises nouvelles qui impactent notre rapport au monde. Que faire d'autre que se replier sur soi et sur sa sphère privée pour y trouver réconfort et raisons d'espérer ? La peur du monde et de l'avenir qui se présente engendre un surinvestissement de l'espace personnel. Où se situe l'entreprise et le rapport au travail dans ce contexte ? Deux attitudes s'opposent. D'un côté, il y a ceux pour qui le travail est une extension du privé. Ils y mettent une forte implication affective, y trouvent un environnement relationnel qui les nourrit, s'y développent et ont le sentiment d'y trouver une forme de réalisation personnelle. De l'autre, on trouve ceux qui considèrent le travail comme une pure source de revenus . Ils s'en protègent, le gardent à distance. Ils se rendent le moins possible sur leur lieu de travail et apprennent à en obtenir ce qu'ils peuvent en s'impliquant au minimum. Pour eux, le travail est une autre forme du monde extérieur hostile et inquiétant. Ils cherchent à s'en préserver. Ce repli peut être synonyme d'isolement et de fragilité psychologique. La peur, associée à l'isolement, produit chez certains de la déprime et chez d'autres de la violence. Plus aujourd'hui que jamais, il faut donner à chacun la possibilité de trouver dans le travail un espace de développement personnel. C'est parfois le seul lieu, où l'individu peut s'investir dans un collectif en y trouvant du sens et du plaisir relationnel. C'est donc une responsabilité des dirigeants de tout faire pour que leurs salariés puissent trouver dans le travail l'occasion de s'épanouir et des raisons d'espérer. Mise en perspective de l'utilité de chacun et de l'ensemble, fierté des réalisations, attention portée aux individus, développement de tous, culture de la qualité relationnelle et du soutien mutuel... Les recettes sont connues . Toutes, bien sûr, dans l'intérêt de l'entreprise. Avant cette période de vacances, partons plein de bonnes résolutions pour que l'entreprise joue son rôle de pilier social et qu'elle soit source d'espoir dans une France qui n'est pas à son meilleur.

 

  Régis de la CROIX-VAUBOIS Président

 


 

Le Chargé de Recrutement du mois

Marc-Henri d'OZOUVILLE : Après une classe préparatoire au lycée militaire d'Aix-en-Provence, il intègre l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr à Coëtquidan. Il s'engage ensuite dans des études de théologie et de philosophie en séminaire à Toulon et Aix-en-Provence. Il intervient chez R.C.V. Conseil comme Responsable du Pôle Bâtiment, Construction, Immobilier.

3 questions à Marc-Henri d'OZOUVILLE : Incertitudes politiques, incertitudes économiques ; le marché du recrutement est-il perturbé par l’ambiance actuelle ? On connait le rôle fondamental de la confiance dans l’économie. Confiance en l’avenir, confiance dans les perspectives de l’économie mais aussi dans la structure politique qui l’encadre… L’incertitude qui a été semée ces dernières semaines a pu ralentir voire paralyser certains projets des maitres d’ouvrages, et envoyer un message négatif d’incertitude auprès des candidats. Malgré tout, l’activité reste porteuse en raison d’un marché structurellement actif et d’un redoublement d’activité de la part des grands et petits acteurs : les entrepreneurs eux, continuent de travailler ! Cette période est toujours intense et fructueuse en recrutements, et 2024 ne fait pas mentir cette tendance. Comment réagissent actuellement les profils que vous approchez en chasse de tête dans le cadre de vos missions ?   La majorité des profils approchés répond positivement dans un contexte encore une fois très actif. Après une période de flottement en juin, la période est déjà au retour aux affaires : d’une part, boucler avant l’été et les JO tout ce qui peut l’être, et d’autre part préparer les fondations de la rentrée. Pour ceux qui ont des réserves, l’enjeu est de placer d’emblée les échanges au cœur du sujet : l’activité, les projets, l’environnement humain. La discussion s’installe très vite en les ramenant dans le réel. Et nous ne manquons pas d’opportunité attractive ; les profils que nous approchons sont donc globalement ouverts à l’échange et attentifs aux opportunités. Eventuellement recruter moins, mais recruter mieux ; comment les entreprises doivent, selon vous, optimiser leur process de recrutement ? Plus que jamais la réactivité et la séduction sont les maitres mots ! Il est clair que les entreprises qui souhaitent recruter doivent faire un effort supplémentaire de séduction auprès des profils qui, très sollicités, souhaitent un environnement sain, qualitatif sur le plan humain, et des missions stimulantes. En cette période de « bouclage », il faut savoir faire preuve de souplesse, quitte à raccourcir les process de recrutement sans rien enlever à leur qualité, étant donné qu’il est très difficile de reprendre en septembre un process arrêté pendant l’été. Nos clients répondent souvent favorablement à ces suggestions, pour un résultat au rendez-vous !    

  ************************   

 

R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations : - Recrutement, - Prestation de Chasse (contrat de mission),  - Dossier d’Evaluation (approche directe), - Prise (contrôle) de références, - Veille Mobilité, - Bilan de compétences (formation),  - RPO (externalisation du recrutement), - Outplacement (reclassement),  - Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation),  - Portage salarial,  - Test de personnalité ou d’aptitude. N'hésitez pas à nous consulter.  

*****************************  

 

 

Recruter, c'est bien ; fidéliser, c'est mieux : le service de Veille Mobilité proposé par R.C.V. Conseil.

Notre service de Veille Mobilité consiste à informer au plus vite nos entreprises clientes lorsqu’un de ses salariés s’ouvre au marché via les médias internet de l’emploi. Notre Cabinet rassemble et traite pour elles les informations recueillies sur les principaux réseaux du marché français :

  • CV Aden : Groupe Figaro Classifieds, CV Aden rassemble les sites Cadremploi, Cadreonline et Keljob, et affiche environ 2 millions de profils avec leurs C.V., plus d’un Cadre français sur deux s’y rend chaque mois,
  • Indeed : premier site emploi mondial, Indeed compte 250 millions d’utilisateurs mensuels dont plus de 6 millions de visiteurs par mois en France,
  • APEC : acteur majeur de l’emploi, l’APEC compte plus de 300.000 profils de Cadres avec leur C.V.,
  • Pôle Emploi : Pôle Emploi compte plus de 5 millions de profils avec leur C.V. en ligne ; c’est le premier jobboard de France,
  • LinkedIn : principal réseau social professionnel comptant 25 millions de profils en France - ce qui représente 80 % de la population active - nous y avons investi dans un outil complémentaire afin d’être informés de l’ouverture active au marché des profils.

Munis de cette information (publique et accessible à tous), cela permet à l’entreprise d’adopter l’attitude et la stratégie les plus adaptées vis-à-vis de son collaborateur.

A chaque transmission d’éléments sur un salarié, et en complément de cette prestation de Veille Mobilité, l’équipe du Cabinet propose de le contacter directement et confidentiellement afin d’analyser ses motivations ; ce contact fera l’objet d’une commande spécifique.

Ce qu’attendent les cadres en matière de recrutement

Dans son enquête annuelle « attentes des cadres en matière de recrutement », l’Apec révèle que les cadres ne veulent plus des processus de recrutement à rallonge, des tests improvisés après chaque entretien. Ils souhaitent désormais des processus plus compacts, plus adaptés aux postes et qui prennent plus en considération la personne (avec Studyrama). 1ère attente : une volonté de resserrer les étapes de recrutement L’étude souligne que les cadres reprochent aux entreprises d’avoir des processus de recrutement trop espacés dans le temps. En effet, 52 % d’entre eux souhaitent avoir une réponse à leur candidature en moins de 3 semaines. Quant aux nombres d’entretiens, ils sont 90 % à dire que deux ou trois entretiens suffisent largement. Concernant le format de l’entretien, ils souhaitent le voir adapter en fonction de la personne qui les reçoit : un entretien plus court avec la RH et un entretien opérationnel plus long avec le manager. De plus, ils souhaiteraient n’avoir à se déplacer qu’une seule fois dans l’entreprise, pour l’entretien avec le futur manager. Pour les tests, les cadres pensent qu’ils sont nécessaires dans de rares cas : les profils juniors ou les métiers du numériques, IT. 2ème attente : une anticipation du processus Afin de préparer leurs entretiens, les cadres souhaiteraient dans l’idéal être informés sur le déroulé du processus : ­sa durée (durée globale, nombre d’entretiens, temps de réponse entre chaque entretien), le contenu des entretiens (durée de l’entretien, sujets abordés, objectifs et interlocuteurs), et la présence de test(s) et les modalités (contenu, aspects évalués, impact sur la décision finale), et ce dès la première prise de contact. 3ème attente : l’obtention des informations au bon moment pour faciliter la prise de décision Pour pouvoir prendre leur décision, les cadres aimeraient disposer des bonnes informations au bon moment. Selon eux, le salaire est parfois discuté trop tardivement et est source d’échec de nombreux processus d’embauches. Ainsi, 65 % des cadres souhaitent disposer d’une information sur la rémunération avant le premier entretien. De plus, 49 % des cadres trouvent difficile d’obtenir des informations sur la qualité de vie et sur les conditions de travail dans l’entreprise. Dans ce contexte, une rencontre avec la future équipe de travail constitue une pratique fortement appréciée des candidats. 4ème attente : Placer l’humain au centre du processus Les cadres expriment le souhait d’une plus grande réciprocité dans les échanges lors des entretiens d’embauche : temps de parole, possibilité de poser ses questions, adaptation aux contraintes des candidats, etc… Ils attendent globalement une posture plus avenante de la part des recruteurs : montrer de l’intérêt et de la considération pour leur expérience, personnaliser les questions, etc…  

*******************************  

 

*******************************

Les très petites entreprises échouent plus souvent que les autres à recruter

Le taux d'emplois vacants est trois fois plus élevé dans les entreprises de un à neuf salariés que dans les plus grandes, indique une récente étude du ministère du Travail. Ces postes correspondent plus souvent que chez les employeurs de dix salariés et plus à des créations de postes (avec Les Echos). Recruter n'est jamais une mince affaire pour les très petites entreprises. Si les tensions sur le marché du travail ont plutôt tendance à se relâcher ces derniers temps, elles restent tout de même à un niveau élevé, plus encore pour les petits employeurs que pour les autres. C'est ce que montre une étude sur les emplois vacants publiée récemment par le ministère du Travail. On entend par emploi vacant les postes libres, qu'ils soient nouvellement créés ou inoccupés, ou encore occupés et sur le point de se libérer, et pour lesquels des démarches actives sont entreprises par un employeur pour trouver le candidat qui convienne. Sur l'ensemble du secteur privé, hors agriculture, intérim et particuliers employeurs, 40 % des 615.000 emplois vacants décomptés en moyenne en 2023 émanent d'entreprises de un à neuf salariés. Un taux de vacance trois fois supérieur pour les TPE C'est moins qu'avant la crise du Covid, où cette proportion atteignait 50 %. En revanche, ce que l'on appelle le taux de vacance, c'est-à-dire le poids de ces postes par rapport aux emplois occupés, a progressé plus que pour les plus grandes entreprises. Il est trois fois supérieur pour les très petites entreprises : 6,3 % contre 2,3 %. Lorsqu'ils trouvent chaussure à leur pied, ces employeurs ne jugent pas plus que les autres avoir eu des difficultés à recruter. En revanche, ils échouent plus souvent, « ce qui traduit notamment leur expérience plus limitée en termes de recrutement ». Dans toutes les activités, leur taux d'emplois vacants est plus élevé que celui des employeurs de 10 salariés et plus. Mais ce n'est pas forcément une mauvaise nouvelle, car dans les TPE, les emplois vacants correspondent plus fréquemment à des créations de postes. « En moyenne en 2022-2023, 37 % des emplois vacants correspondent à des emplois nouvellement créés dans les entreprises de 1 à 9 salariés contre 27 % dans celles de 10 salariés et plus », pointe l'étude. L'écart est cependant plus élevé dans certains secteurs que dans d'autres. « Dans la construction, les activités immobilières et l'hébergement-restauration, elles concentrent près de deux tiers des emplois vacants (respectivement 59 %, 62 % et 66 % en moyenne en 2023), contre à peine plus du tiers des emplois occupés (respectivement 35 %, 34 % et 36 %) », constate le ministère du Travail.

 

***************************  

 

******************************

Les signaux d’alerte concernant la dégradation du bien-être au travail des cadres se multiplient

Les signaux d’alerte sur le malaise des cadres se multiplient : procrastination, stress, démotivation, surcharge, télétravail… Retour sur les chiffres qui témoignent du mal-être grandissant de ces salariés sur lesquels pèsent de plus en plus de responsabilités au sein de l’entreprise (avec l’Express). 1 cadre sur 4 estime que sa santé mentale s’est dégradée Les chiffres qui illustrent le mal-être des cadres et cadres dirigeants s’accumulent avec les études, et celui-ci semble s’accentuer avec la proportion de responsabilité de chaque salarié. Selon une étude de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec), 1 cadre sur 4 estime que sa santé mentale s’est dégradée au cours des années précédentes. Pour les managers, c’est pire : 65 % ont la sensation d’une charge de travail insurmontable (contre 47 % pour les cadres non managers), 62 % ressentent un sentiment d’épuisement professionnel (contre 48 %) et 64 %, un stress intense (contre 48 %). Si bien que plus de 20 % des jeunes cadres ne veulent plus passer à des fonctions de management, de peur de ne voir leur état mental empirer. Et pour cause : parmi les répondants managers, 66 % trouvent cette fonction stressante et 43 % considèrent que cela représente trop de responsabilités. 89 % des dirigeants et managers procrastinent au travail Procrastiner est-il une preuve de fainéantise ? Près de 9 cadres dirigeants et managers sur 10 admettent procrastiner sur les heures de travail. Ils seraient même 23 % à le faire "souvent" et 10 % à le faire "toujours". S’il peut faire sourire, le phénomène puise sa source dans des problèmes plus sérieux : celui de la démotivation, notamment, avancé par plus de la moitié des managers de moins de 24 ans, contre un tiers des dirigeants de plus de 64 ans. Mais aussi celui de la surcharge de travail, à l’inverse moins bien vécue par les plus âgés : elle est invoquée par 51 % des 55-64 ans comme une des causes de leur procrastination, contre 34 % des 18-24 ans. D’autres raisons sont évoquées : près de 58 % des dirigeants qui procrastinent dans le cadre professionnel se disent découragés face à la lourdeur des processus administratifs. D’autres encore évoquent la difficulté de prendre des décisions stratégiques, ou encore la peur de l’échec. 45 % des cadres démissionneraient sans télétravail Ils sont nombreux à ne plus pouvoir tenir sans télétravail. Une autre étude de l’Apec, nous apprend que 45 % des cadres démissionneraient si l’accès au télétravail était supprimé. Dans le monde professionnel de l’après-Covid, être heureux au travail passe donc désormais par le fait… de ne plus être tout le temps au travail. Désormais "bien installé dans l’organisation du travail des cadres", le télétravail permet plus de flexibilité dans les horaires, ce qui peut être utile pour jongler avec la vie de famille et les tâches domestiques en même temps que de longues journées de travail, ou encore de déménager dans une région parfois moins chère, et d’économiser sur le prix d’un loyer parfois très pesant. Ils sont aujourd’hui 67 % à pratiquer le télétravail au moins un jour par semaine, dont un quart au moins deux jours par semaine. L’enquête de l’Apec rapporte qu’aucun "retour en arrière n’est envisageable pour les cadres" et ajoute que 69 % seraient mécontents en cas de réduction du télétravail (82 % en cas de suppression).

   

****************************  

 

********************************

Les dernières missions confiées à R.C.V. Conseil

Pour votre information, vous trouverez ci-dessous quelques-uns des recrutements qui ont été confiés à notre Cabinet au mois de juin dernier :

Chef de Projet IRVE
Directeur d'Exploitation
Chef de Projet
Architecte - Resp. Pôle Conception
Responsable Bureau d'Etudes Structures
Chargé d'Opérations
Technicien de Maintenance
Responsable Comptable
Conducteur Travaux
Directeur Technique
Technicien Maitrise de l'Air
Directeur Matériel
Contract Manager
Chef d'Agence
Chargé d'Etudes
Dessinateur Technique
Chef de Groupe Bâtiment
Chef de Projet
EDP MEP
Resp. Travaux MEP
Chargé d'Affaires CTC

 

 

*****************************

 

Le Cabinet R.C.V. Conseil sera fermé du 5 août au 19 août. Nous souhaitons de belles vacances à ceux qui ont la chance d'en prendre.  

 

****************************

 

 

****************************

 

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil : Régis, Nathalie, Louis-Marie, Gwénaëlle, Marie, Mailys, Pierre-Antoine, Marie, Louis-Marie, Amélie et Marc-Henri se tiennent à votre disposition. Bien cordialement, Régis de la CROIX-VAUBOIS Président 144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex Tel : 01.55.38.75.00 Le Forum - 27 rue Maurice Flandin - 69444 Lyon cedex 03 Tel : 06.46.36.11.66 contact@rcv-conseil.com www.rcv-conseil.com LinkedIn R.C.V. Conseil

***************************  

Pour votre information, R.C.V. Conseil a été à nouveau récompensé dans le cadre de l’enquête annuelle du journal Les Echos, parmi les 250 meilleurs Cabinets de France (sur 3.500) à l’occasion de l’étude publiée en novembre dernier. R.C.V. Conseil figure parmi les 61 Cabinets qui obtiennent la note maximale sur les critères de qualité, de rapidité, de communication, de prix et de résultat (Enquête Les Echos - 2024). Et sur Google, R.C.V. Conseil est noté 4,9 sur 5 par les 75 internautes ayant déposé un avis.  

*****************************  

Nous adressons toutes nos félicitations à nos collaborateurs Marie CHAMBON et Marc-Henri d'OZOUVILLE, respectivement Maman d'un petit Ambroise et Papa d'une petite Aliénor. Nous adressons toutes nos félicitations aux généreux et courageux parents pour ces magnifiques bébés ! Vive la Vie !